mercredi 24 décembre 2008
mercredi 10 septembre 2008
Civilisations Préhistoriques du Maroc - Le Néolithique
Le Néolithique qui succéda à l'Ibéromaurusien est connu au Maroc vers 6000 ans B.C.
Cette civilisation est caractérisée par l'apparition de l'agriculture, la sédentarisation, la domestication, la fabrication de la céramique et l'utilisation des haches polies…Plusieurs sites du Maroc ont révélé des niveaux se rattachant à cette culture: Kaf Taht el Ghar , Ghar Kahal, Boussaria , les grottes d'el Khill et la nécropole de Rouazi Skhirat….
Cette civilisation est caractérisée par l'apparition de l'agriculture, la sédentarisation, la domestication, la fabrication de la céramique et l'utilisation des haches polies…Plusieurs sites du Maroc ont révélé des niveaux se rattachant à cette culture: Kaf Taht el Ghar , Ghar Kahal, Boussaria , les grottes d'el Khill et la nécropole de Rouazi Skhirat….
lundi 14 juillet 2008
Marrakech, le Musée Dar Si Said
Où dormir à Marrakech?
Construit à la fin du XIX ème siècle par Si Saïd B. Moussa qui exerçait la fonction de ministre de la guerre pour en faire son palais… Après sa mort en 1900 Dar Si Said connu plusieurs affectations, en 1914, le protectorat français en a fait même le siège des chefs successifs de la région de Marrakech,
En 1932, Dar Si Said est transformé en musée des Beaux Arts, où tout les les artisanats de Marrakech et du Sud marocain (du Tensift, du Sous, du Haut Atlas, de l'Anti Atlas, du Bani, du Tafilalet ) s’y trouve représenté.
L'essentiel des collections proposent des ensembles homogènes de boiseries, portes traditionnelles de
maisons et casbahs de l’Atlas, de bijoux, de poterie et céramiques, d'armes, de tapis et tissages et quelques pièces archéologiques dont la cuve en marbre du début du XIème siècle.
Construit à la fin du XIX ème siècle par Si Saïd B. Moussa qui exerçait la fonction de ministre de la guerre pour en faire son palais… Après sa mort en 1900 Dar Si Said connu plusieurs affectations, en 1914, le protectorat français en a fait même le siège des chefs successifs de la région de Marrakech,
En 1932, Dar Si Said est transformé en musée des Beaux Arts, où tout les les artisanats de Marrakech et du Sud marocain (du Tensift, du Sous, du Haut Atlas, de l'Anti Atlas, du Bani, du Tafilalet ) s’y trouve représenté.
L'essentiel des collections proposent des ensembles homogènes de boiseries, portes traditionnelles de
maisons et casbahs de l’Atlas, de bijoux, de poterie et céramiques, d'armes, de tapis et tissages et quelques pièces archéologiques dont la cuve en marbre du début du XIème siècle.
jeudi 26 juin 2008
mercredi 11 juin 2008
vendredi 11 avril 2008
Ryad Les Cigognes


Ouvert en 1998 au coeur du quartier du mellah, Riad avec piscine, ses cigognes au pied des remparts et son grand patio arboré d’orangers et de citronniers à cinq minutes de la place Jamaa el Fna. Traditions et authenticité garanties...
lundi 31 mars 2008
Chefchaouene, Le Musée Ethnographique
Le Musée Ethnographique est installé dans une somptueuse Kasbah, construite en 1471 par Moulay Ali Ben Rachid, fondateur de la principauté de Banu Rachid à Chefchaouen.
A la beauté des lieux, s'ajoute celle de la collection du musée qui propose : instruments de musique, armes, broderies, coffres en bois, poteries... caractéristiques de l'art populaire Chefchaouni, et de celui de la région du Nord Maroc…
lundi 17 mars 2008
Casablanca, présentation de la ville
Capitale économique du pays, Casablanca (4 millions habitants) incarne le Maroc moderne et préfigure celui de demain. Conçue par la puissance coloniale et par Lyautey en premier lieu, à partir du début des années 1920. Le premier résident général en fit la vitrine de la double mission assignée à la présence française au Maroc : une vocation ‘civilisatrice’ dans le respect des traditions marocaines. Pendant une quarantaine d’années, Casablanca fut un chantier permanent, une « école d’énergie », selon le mot de Lyautey, où se succédèrent les meilleurs architectes, qui privilégièrent la ligne droite et la sobriété des formes.
Lieu de brassages ethniques et de créations architecturales, cette ville présente un mélange de styles et des contrastes à l’américaine où les gratte-ciel dominent les taudis, où les villas art déco côtoient des immeubles contemporains. Ville arabe, elle a également adapté des éléments de l’architecture islamique aux exigences de la modernité, se tournant même vers une architecture futuriste.
Au milieu de tout ceci, les Mercedes croisent les chariots, les dernières créations de la mode
parisienne se mêlent aux babouches, djellabas et gandouras, le tout faisant de cette grande métropole une ville originale qui joue de sa dualité : l’orientale et l’occidentale, la riche et la pauvre, la traditionnelle et la moderne.
Et, depuis 1993, le minaret de la grandiose Mosquée Hassan II, haut de 200 m, domine le paysage casablancais…
Lieu de brassages ethniques et de créations architecturales, cette ville présente un mélange de styles et des contrastes à l’américaine où les gratte-ciel dominent les taudis, où les villas art déco côtoient des immeubles contemporains. Ville arabe, elle a également adapté des éléments de l’architecture islamique aux exigences de la modernité, se tournant même vers une architecture futuriste.
Au milieu de tout ceci, les Mercedes croisent les chariots, les dernières créations de la mode
parisienne se mêlent aux babouches, djellabas et gandouras, le tout faisant de cette grande métropole une ville originale qui joue de sa dualité : l’orientale et l’occidentale, la riche et la pauvre, la traditionnelle et la moderne.
Et, depuis 1993, le minaret de la grandiose Mosquée Hassan II, haut de 200 m, domine le paysage casablancais…
lundi 10 mars 2008
Ouarzazate, histoire de la ville
Où dormir à Ouarzazate ?
Construite en 1928 par les français, cette ville de garnison (60 000 habitants) est devenue la capitale administrative de la région du Drâa. Située sur un plateau à 1 160 m d’altitude, au confluent de l’oued Drâa et de l’oued Dadès, dont les vallées sont exceptionnelles. Avec ses maisons de crépi ocre et sa rue centrale démesurément large, la ville peut décevoir, mais son atmosphère particulière annonce déjà le Sahara.
Son exceptionnelle situation géographique lui confèrent le statut de ville d’étape : c’est le point de départ de d’excursions vers la vallée du Dadès à l’Est, la route des Oasis au Sud et vers les montagnes de l’Anti-Atlas. Ouarzazate, c’est avant tout cela : une porte ouvrant sur le rêve de l’aventure inouïe du désert !
Construite en 1928 par les français, cette ville de garnison (60 000 habitants) est devenue la capitale administrative de la région du Drâa. Située sur un plateau à 1 160 m d’altitude, au confluent de l’oued Drâa et de l’oued Dadès, dont les vallées sont exceptionnelles. Avec ses maisons de crépi ocre et sa rue centrale démesurément large, la ville peut décevoir, mais son atmosphère particulière annonce déjà le Sahara.
Son exceptionnelle situation géographique lui confèrent le statut de ville d’étape : c’est le point de départ de d’excursions vers la vallée du Dadès à l’Est, la route des Oasis au Sud et vers les montagnes de l’Anti-Atlas. Ouarzazate, c’est avant tout cela : une porte ouvrant sur le rêve de l’aventure inouïe du désert !
mercredi 30 janvier 2008
Casablanca, histoire de la ville
Autour de la colline d’Anfa, il y avait au Moyen Age une petite cité berbère nommée Anfa. Son port trafiquait avec les Espagnols, les Portugais, les villes italiennes, tout en abritant une flottille de corsaires. C’est de là que devaient venir tous les malheurs d’Anfa : les Portugais, principales victimes, décidèrent d’en finir. En 1468, ils mettent à sac la ville, la démantèlent et la vident de ses habitants. Pendant trois siècles, ses ruines restent désertes.
La ville renaît à la fin du 18ème siècle, sous l’impulsion du sultan Mohamed ben Abdallah. Mais elle a changé de nom : sans doute à cause d’une grande bâtisse servant de repère aux voyageurs, qu’on appelle Dar el Beida, c'est-à-dire « Maison Blanche » pour les Français et « Casa Blanca » pour les Espagnols. A partir de 1850, l’avènement de la navigation à vapeur et la demande européenne de grains et de laines, facilitent l’expansion de Dar el Beida (ligne Marseille-Casablanca de la compagnie
Paquet, de 1862 à 1983), et son port dispute à Tanger le premier rang.
La grande mutation de la ville, qui s’appelle désormais Casablanca, aura lieu au 20ème siècle. En 1907, une entreprise française se voit confier la construction d’un petit port artificiel et des commerçants étrangers (surtout français) commencent d’affluer et de bâtir en bordure de la médina. En 1912, Lyautey décide de faire de Casablanca non seulement un grand port mais aussi le centre économique du Maroc. L’architecte Prost est chargé d’édifier la ville nouvelle et d’en planifier le développement. Casablanca connaît désormais une croissance à l’américaine. Le grand commerce s’installe, les banques prospèrent, tandis que les industries attirent de très nombreux ruraux. De 60 000 habitants en 1912, la population passe à 263 000 en 1936 et 682 000 en 1952, puis approche le million en 1960.
mercredi 16 janvier 2008
Kénitra, le site de Mehdiya
Situé à 7km de Kénitra, Mehdiya (ou Al Madhiya ou El Mamora), est construite sur un escarpement rocheux, ses fortifications se dressent encore au bord de l'Atlantique pour dominer la plaine côtière et protéger l'embouchure de l'oued Sebou…
Certains voient en Mehdiya l'emplacement du comptoir carthaginois Thymiatérion (5ème siècle avant J.C).
Fortifié par l’Almohades au XII ème siècle Abd al-Moumen, pour y installer un arsenal de 120 navires… El Mamora devient alors un repaire de pirates.
En 1614, pour protéger leurs communications maritimes, les Espagnoles prirent la ville qu’ils nommèrent : San Miguel de Ultramar.
En 1681, le sultan alaouite Moulay Ismaïl, chassa les Espagnoles et fit ériger la porte monumentale, une
mosquée, un palais, un hammam, une prison et plusieurs constructions… La flotte de Mehdiya reprend également les mers…et ce n’est au 19e Siècles que les actes de pirateries cessèrent.
Aujourd’hui encore, plusieurs monuments témoignent de la splendeur de jadis : la maison seigneuriale du Caîd ar-Rifi construite au XVIIème siècle, un hammam privé de type hispano-mauresque, des citernes, une prison et une mosquée, des fondouks.
lundi 7 janvier 2008
Agadir, présentation de la ville
Où dormir à Agadir?
Une baie superbe de sept kilomètres de sable fin, trois cents jours d’ensoleillement par an (avec toutefois un fréquent brouillard l’été…), ainsi qu’une importante infrastructure hôtelière font d’Agadir la première station balnéaire du pays.
A cela, s’ajoute un arrière-pays haut en couleurs et riche de curiosités en tous genres qui en font un point de départ idéal pour des excursions vers le Sud atlantique et l’Anti-Atlas. Egalement capitale du Sous et premier port de pêche du Maroc (sardines en particulier).
jeudi 3 janvier 2008
Essaouira, l'île de Mogador

L'île de Mogador, située non loin de la ville actuelle d'Essaouira sur l'océan atlantique, recèle les traces d'une installation remontant à l'époque phénicienne.
Où dormir à Essaouira?
Il s’agit du site phénicien le plus extrême à l'ouest de la Méditerranée occidentale. Les premières fouilles archéologiques, effectuées en 1950, ont permis de récolter sur le site des pièces de monnaies, des fragments en céramique et d'amphores d'époque romaine. Les sondages ouverts sur le site en 1951 ont mis au jour, à plus de deux mètres de profondeur, un matériel nettement plus ancien (lampes puniques, épigraphie sémitique). Les fouilles entreprises entre 1956 et 1959 ont mis au jour, dans
les niveaux inférieurs, une abondante céramique phénicienne, accompagnée de fragments d'amphores grecques et de vases chypriotes du VIIème siècle av. J.-C., ce qui permet de remonter la première occupation du site à la deuxième moitié du VIIème - début du VIème s. av. J.-C
Au Vème siècle, le site de Mogador semble être abandonné au moment même où la pénétration punique s'accentue dans le nord du Maroc; seules quelques amphores prouvent que l'île est encore, épisodiquement, fréquentée avant l'installation maurétanienne. A Mogador sont situées les îles purpuraires du roi Juba II. Au cours des travaux de 1957 une grande habitation maurétanienne fut découverte, elle sera remaniée et agrandie à l'époque romaine.
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